A l'homme intelligent, un clin d'œil suffit ;à l'homme instruit, nul besoin d'explication.
A la fin du souk, on est généreux : on brade les marchandises, on les donne.
Achète et chevauche, achète et trais.
Aime-moi comme un frére et réglons nos comptes somme deux ennemis.
Apprends à obéir avant de commencer à donner des ordres.
As-tu quelques larmes en trop ? passe les moi.
Aucun chat ne se sauve de la maison où se déroulent les festivités d'un mariage.
Aucune beauté n'est parfaite, même le coquelicot est entaché de noir.
Aujourd'hui tempêtes et tonnerres, demain entre les bras de mon amour.
Aussi âgé que naïf, comme l'âne de la noria.
Comme si l'on offrait des perles à des poules.
De quoi estime jouissait le défunt s'il faut payer les gens pour pleurer!
Demande conseil à celui qui en a fait l'expérience et non au médecin.
Deux échéances inéluctables : le mariage et la mort.
Donne moi mon du en entier et toujours; car je ne suis qu'une pauvre orpheline.
dosage est bon ; point n'en faut.
Drôle d'époque : les âne en guerre et les chevaux aux écuries.
Elle agonise et pense au poisson.
Celui qui n'a pas d'argent, a les paroles amères.
Celui qui n'a pas de maître, a une maîtresse.
Celui qui ne fait pas attention payera.
Celui qui ne veut pas se contenter d'un pain devra se contenter de la moitié.
Celui qui s'est frappé par sa main ne doit pas pleurer.
Celui qui sait parler ne risque pas de s'égarer.
Chauve avec argent, donnez moi sa tête que je la couvre de baisers.
Cire la ficelle, elle ira.
Comme la brebis du berger qui vit dépens des autres.
Comme le boulanger au four : le feu devant et les imprécations derrière.
Enfants bénis de leur père et de leur mère sont bénis par Dieu.
Entre Mbareque même avec ton âne.
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